• Le Grand-Duché de Luxembourg a engagé un programme important de reconversion de friches industrielles sur le site d'Esch-Belval ; il vise la création à l'horizon 2015 de 20 000 emplois et l'arrivée de plus de 5000 habitants sur le site de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Ville">la Ville</st1:PersonName> nouvelle en création.



    Futur pôle quaternaire d'activités liées à l'économie de la connaissance, au tertiaire, ce projet impacte déjà le versant lorrain du territoire, soit directement les 5 communes mitoyennes du bassin de l'Alzette et plus largement celles de la bande Longwy - Thionville, comme les territoires de proximité (vallée de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Fensch">la Fensch</st1:PersonName> en particulier).



    L'ampleur de l'opération d'aménagement engagée doit permettre à terme la création d'une véritable agglomération transfrontalière, à partir des noyaux urbains existants, et le développement d'un bassin de vie et d'emploi redéfini.



    La partie française devrait ainsi voir se développer rapidement une nouvelle urbanisation à partir des 5 communes françaises à proximité immédiate du site luxembourgeois projet Alzette - Belval au sens strict , intégrant des aménagements paysagers, la préservation des espaces verts existants, le développement de modes de déplacements doux.

    Ces communes seront reliées par une voie de circulation permettant l'accessibilité au site luxembourgeois et le désenclavement de la vallée en amont de l'Alzette.

    Mais au-delà, le projet lorrain concerne directement 10 communes de proximité pour 27 000 habitants qui devraient connaître rapidement le développement d'un habitat de qualité, cohérent et respectant une véritable mixité sociale.




    Pour cette aire de projet « Alzette-Belval 2015 » un développement économique spécifique doit également concrétiser cette ambition d'une nouveau bassin d'emploi par la complémentarité aux activités de proximité attendues au Luxembourg (développement de services aux entreprises, des activités induites par le tertiaire supérieur...) comme par des activités propres confortant une image territoriale globale de qualité de vie (activités de production, de recherche appliquée, de services liées aux technologies « environnement », au développement durable, aux énergies renouvelables, création d'un pôle « culture et techniques de l'image »...).
    Source : Secrétariat Général aux Affaires Régionales


     


     

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p><o:p> </o:p><o:p> </o:p> 
    Début Janvier 2007, le Président du Conseil Régional Jean-Pierre Masseret a reçu une délégation d'élus de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Communauté">la Communauté</st1:PersonName> de Communes du Pays Haut Val d'Alzette : M. Parthenay, M. Félici, Mme Witwicki, M. Aliventi et M. Muller. L'objet de la rencontre a porté sur le projet Alzette-Belval 2015.



    Les élus ont présenté les domaines sur lesquels ils travaillent depuis de longs mois :



    - la formation professionnelle et l'adaptation des salariés aux nouveaux métiers,

    - l'action économique avec des projets liés à l'écodéveloppement et aux techniques nouvelles de l'habitat,

    - les transports afin de faciliter les liaisons entre <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Lorraine">la Lorraine</st1:PersonName> du nord et le Luxembourg,

    - la valorisation du site de Micheville,

    - les projets culturels du pôle Image et du centre de la mémoire vivante,

    - l'habitat pour rapprocher les salariés de leur lieu de travail.
    <o:p> </o:p>Le Président du Conseil Régional a reconnu le travail fait tout en appelant les différents partenaires privés et publics à dire maintenant comment ils comptaient passer de l'intention à la réalisation.<o:p> </o:p> Ce passage suppose que les projets soient confirmés dans leur faisabilité, leur pertinence et leur financement au service du Développement du secteur.<o:p> </o:p>A cet égard, le Conseil Régional est particulièrement intéressé par l'aménagement de l'ancienne friche industrielle de Micheville qui doit être, à ses yeux, le premier acte concret du projet Alzette Belval 2015.<o:p> </o:p> Les échanges ont permis d'évoquer plusieurs pistes susceptibles de développer l'attractivité du projet du côté lorrain.<o:p> </o:p>Le Conseil Régional est d'ailleurs prêt à anticiper sur le Contrat de Projet (CPER) afin de dégager une enveloppe financière permettant les premiers engagements. <o:p> </o:p>
    Le Président du Conseil Régional a rappelé qu'il appuyait la création d'un groupement d'étude et de coopération transfrontalier (GECT). <o:p> </o:p>Le Conseil Régional souhaite qu'une association de l'Etat, du Conseil Régional, des Conseil Généraux 57 et 54, et de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Communauté">la Communauté</st1:PersonName> de Communes permette la gouvernance efficace du projet Alzette-Belval 2015. Une proposition sera faite en ce sens par le Président Masseret en direction des différents partenaires.<o:p> </o:p> Enfin, le Président du Conseil Régional a indiqué vouloir relancer le projet de zone franche, élément indispensable du développement économique sur la partie du projet situé en territoire français.

    Ce développement devrait mobiliser largement les acteurs socioéconomiques, les entreprises, les acteurs de la formation, mobiliser les partenariats et les compétences de tout le Nord lorrain, de Longwy à Thionville et il constitue une opportunité majeure pour ces territoires qui ont connu de lourdes restructurations industrielles.


    Stratégie d'aménagement et stratégie économique intégrée, volonté d'associer largement les acteurs publics et privés pour la réussite d'un projet régional moteur, volonté de coopération et de synergies avec le partenaire luxembourgeois, « Alzette-Belval 2015 » est entré dans sa phase pré opérationnelle.



    Source : CR Lorraine


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  • COMMUNIQUE DE PRESSE de Marie-Thérèse GANSOINAT-RAVAINE, vice-présidente du conseil régional, candidate PS aux élections législatives pour la 2ème circonscription de la Moselle
     


    Ce sont des vœux de bonheurs, de santé et d'espoir que j'adresse en ce début d'année à toutes les lorraines et à tous les lorrains.
    Bonheurs, parce qu'ils sont indispensables à la vie. Santé, car c'est un bien précieux. Espoir parce qu'il nous projette toujours dans l'Avenir !
    Je souhaite que 2007 redonne espoir à ceux pour qui la vie est des plus difficile. Je souhaite que 2007 soit l'année du changement, celle d'un nouvel élan. Je souhaite que chacun prenne sa vie en main, ait la faculté de résister et de décider, la volonté d'oser et d'entreprendre, la force de croire et d'espérer.
    Mais souhaiter ne suffit pas ! Je veux que cela change et cette volonté, je la mettrai tout au long de l'année à votre service, avec optimisme et vérité car c'est une de nos ultimes chances de mettre en route un changement vrai.
    Rassemblons nos forces, toutes nos forces pour forcer le renouveau car au printemps 2007, nous allons choisir dans quelle France nous voulons vivre ensemble.


    Belle et bonne année à toutes et à tous.                       


    Marie-Thérèse Gansoinat-Ravaine                      


    14 janvier 2007


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  • Erasme (voir en liens) publiait le 10 Décembre 2006 (catégorie DA2M pouvoir d'achat) un article consacré au prix nobel de la paix attribué à Muhammad Yunus pour son travail sur le développement et la mise en œuvre des « micro crédits ».

    En Lorraine, une journée de réflexion consacrée au "microcrédit et femmes créatrices d'entreprise" s'est déroulée le 7 décembre à l'Hôtel de Région.

    Le microcrédit permet à des personnes démunies, n'ayant pas accès aux crédits bancaires habituellement, d'avoir un apport. Cet outil permet de développer des activités économiques génératrices de revenus et d'emplois.

    Le père du microcrédit, Muhammed Yunus, a par ailleurs reçu le Prix Nobel de la Paix pour la mise en place d'une banque du microcrédit au Bangladesh.

    Le Conseil Régional de Lorraine apporte d'ores et déjà son appui à cette démarche d'économie sociale et solidaire par le biais d'un contrat avec l'ADIE (Association pour le droit à l'initiative économique).

    A ce titre, l'Université Populaire d'Attac Moselle organise une conférence sur le sujet : « Micro crédit et création d'emplois », le 27 Mars 2007 avec Jean-Michel TOULOUZE Professeur agrégé en Economie et Gestion et Chaynesse KHIROUNI, Déléguée régionale de l'ADIE .

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  • Le Conseil Régional des Jeunes : un autre outil pour développer la démocratie participative



    La démocratie participative ? Comme son nom l'indique, elle doit permettre d'associer l'ensemble des citoyens à la décision votée par les élus. La tranche d'âge «16/23» a ses propres préoccupations mais aussi un avis sur la vie en Lorraine. Il fallait donc créer un lieu d'écoute et débat spécifique car nous devons construire et décider ensemble.



    Mais pour décider ensemble, il faut que chacun ait les mêmes informations. Il faut donc que ceux qui ont cette information la partagent de façon compréhensible et évitent le langage «techno» !



    Il faut aussi faciliter l'accès à cette information et le meilleur moyen aujourd'hui, celui qui touche le plus de monde, c'est l'internet.



    Le Conseil Régional de Lorraine s'emploie à trouver les meilleures solutions pour faciliter cet accès à l'information. Le Conseil Régional des Jeunes pourra sans doute apporter son éclairage sur cette question aussi.



    Tout comme il pourrait se saisir du projet de rapprochement entre élus et citoyens. Car on ne peut pas ignorer la «fameuse fracture sociale» qui éloigne les citoyens des élus et donc des décisions. On aura tous constaté que les «jeunes majeurs» n'échappent pas à la faible participation constatée au moment des élections. Et c'est bien pour réduire cet espace trop important entre citoyens et élus que la majorité régionale a souhaité mettre l'accent sur la «Démocratie Participative».

    En résumé, afin de réduire la fracture, il faut donc «faire de la place» aux acteurs Lorrains - et donc y compris aux jeunes acteurs dans la chaîne de décisions pour :
    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>
    - qu'ils aient une information lisible et compréhensible,
    - qu'ils aient des espaces d'échange avec les élus,
    - qu'ils aient des réponses aux questions qu'ils posent!

    En travaillant ensemble, élus et citoyens, quelque soit leur âge, doivent renouer le dialogue et prouver ainsi que chacun est à l'écoute de l'autre et que chaque expression permet la construction de «d'outils en commun» pour tous ! Les 73 jeunes élus pourront ainsi prouver que «c'est possible !»


    Les questions de la «construction de la citoyenneté» mais aussi du «savoir être» seront probablement débattues par les élus du CRJ ... S'ils considèrent devoir l'aborder ou si les adultes les saisissent de cette question ! 


    Nous leur proposerons quelques axes de travail ; ainsi, le développement de la citoyenneté peut s'énoncer de la façon suivante



    - porter et de s'approprier les règles qui guident le «vivre ensemble»

    - être acteur, partout, de ce «vivre ensemble» : à l'école, dans son quartier, dans son club de sport, son association, sa fac, son entreprise



    - ainsi modifier l'image bien trop répandue du jeune uniquement contestataire voir même seulement casseur !

    - montrer à tous que, quelque soit l'âge, qu'on peut passer du stade «spectateur» ou stade responsable de ses actes».<o:p> </o:p>
     

    Parce qu'ils ont largement prouvé leur capacité de mobilisation pour les causes humanitaires, sociales ou de solidarité, nous sommes déjà persuadés que les jeunes élus confirmeront leur intérêt pour des projets associatifs de solidarité internationale ou culturels. 

    En matière de Démocratie Participative et de Citoyenneté, comme dans d'autres domaines, la Lorraine a la possibilité d'être exemplaire et ainsi de devenir la première région à développer concrètement ce concept. En instituant le CRJ, les élus du Conseil Régional sont persuadés que les 16-23 ans participeront activement à son développement !


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  • Un TGV pour la lune



    Le patron de la Région a décliné hier ses vœux sur la thématique de la campagne nationale de promotion de la Lorraine, dont le point d'orgue est prévu en février à la gare Saint-Lazare.



    « A Paris les gens associent à la Région lorraine une histoire mais pas un devenir. Il faut miser sur cette attractivité indispen­sable au devenir du territoire », plaide Jean-Pierre Masseret face à ses hôtes.


    Pour la traditionnelle présen­tation des vœux, le patron de la Lorraine a dévoilé « le deuxième étage » de la fusée destinée à décrocher la lune. La Lorraine doit elle aussi convaincre que sa face ca­chée vaut le détour. L'arrivée du TGV - rebaptisé "le messie" par Jean-Pierre Mas­seret -, ou encore le centre Pompidou à Metz consti­tuent deux brillants exemples de ce dynamisme lui permet­tant de modifier en profon­deur son image.


    L'occasion est trop belle, une campagne de com' s'impose donc. (Lire ci-dessous).

    Sans remettre en cause cette opportunité, Roger Cay­zelle évoque plutôt un atter­rissage catastrophe qu'un lointain alunissage. «Nous sommes en effet à un moment de grande difficulté car la plupart de nos indicateurs économiques et sociaux sont au rouge», résume-t-il, en pointant du doigt les pesan­teurs économiques lorraines.


    «La deuxième phase de notre reconversion est grippée», constate le président du conseil économique et social lors de la même présentation des vœux de nouvelle année.

    «Des hauts et des bas»En réponse, Jean-Pierre Mas­seret suggère : Notre devoir, c'est d'éclairer l'avenir », en ciblant l'action de la Région en faveur des métiers de demain, dont l'accent sera mis début mars sur ceux de l'automobile. Pour le reste « il y aura, en 2007, des hauts et des bas », prédit l'orateur.


    Encore faut-il déceler le mes­sage subliminal. En cette année d'affrontement électoral, celui-­ci ne devrait pas être bien diffi­cile à identifier. A ce sujet, le président de Région rejoindra sa candidate préférée dès de­main, mercredi, au Luxem­bourg. Ségolène Royal devrait en effet y rencontrer lors d'un entretien en tête à tête Jean-­Claude Juncker, le Premier Mi­nistre grand ducal.


    Entre Jean-­Pierre Masseret et Ségolène Royal, il sera peut-être aussi question... de Nicolas Sarkozy, et du rythme qu'il convient d'imprimer à la campagne.


    En dépit du raout médiatique de ces dernières heures, Jean-Pierre Masseret reste confiant : «Sarko est parti dans la tradition, mais la présidentielle se gère comme la montée d'un col dans le tour de France. Avant fin Février, début Mars, on ne peut rien dire» juge t-il. Pour les idées et le programme, l'intéressé annonce la date : «Elle dira tout le 18 Mars». A suivre, donc.


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