• Déplacement de Ségolène Royal au Luxembourg : pour un nouveau référendum en 2009

    Le 17 janvier 2007, le Premier ministre Jean-Claude Juncker a reçu la députée à l'Assemblée nationale française et candidate du Parti socialiste à la présidentielle de 2007, Ségolène Royal, pour une entrevue à l'Hôtel de Bourgogne. Ségolène Royal a également un échange de vues avec le Vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères et de l'Immigration, Jean Asselborn.Les discussions ont essentiellement porté sur les grands dossiers d'actualité politique européenne et internationale.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

     


    Ségolène Royal, le 15 janvier 2007. | AFP/EREZ LICHTFELD 

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    LUXEMBOURG (AFP) - La candidate socialiste française à l'élection présidentielle Ségolène Royal s'est prononcée mercredi à Luxembourg pour un nouveau référendum en France en 2009 "sur un traité qui permette aux institutions européennes de fonctionner".



    "Il faut un traité qui permette aux institutions de fonctionner. Je suis prête à prendre des risques politiques", a déclaré Mme Royal à l'issue d'une rencontre avec le Premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker.

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    Si Mme Royal n'entend pas soumettre à référendum le même texte que celui qui avait été rejeté par les Français en mai 2005, elle a laissé entendre qu'elle ne proposait plus une refonte en profondeur du traité sur <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Constitution">la  Constitution européenne comme elle l'avait déclaré auparavant. </st1:PersonName>

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    "Je ne veux pas que les Français pénalisent les pays européens qui se sont déjà prononcés (sur <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Constitution">la Constitution</st1:PersonName>). Ce que je souhaite, c'est qu'il y ait un volet social et que les droits des travailleurs soient pris en considération en Europe", a-t-elle déclaré.

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    "Je suis une Européenne convaincue, la présidence française au deuxième semestre 2008 va constituer une échéance très importante", a-t-elle encore affirmé.

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    De son côté, M. Juncker a souligné qu'il était d'accord avec Mme Royal qu'il fallait compléter le traité constitutionnel par une "déclaration sociale plus engageante".

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    "Nous pensons tous les deux que l'UE doit se doter d'un socle de droits sociaux minimums pour les travailleurs", a-t-il ajouté. "Nous avons discuté des développements possibles en matière de traité constitutionnel, dont nous ne voudrions pas qu'il s'appelle traité constitutionnel mais traité fondamental de base", a-t-il encore indiqué.


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